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29 novembre 2006

CE N’ÉTAIT PAS LEUR DESTIN

Cantona, Ribéry : comment ces deux mal-aimés potentiels se sont métamorphosés en chouchous nationaux ?

Une exclusion de l’équipe de France après avoir traité le sélectionneur national de "sac à merde" ; un renvoi du centre de formation lillois pour indiscipline; un maillot jeté à terre, des doigts tendus vers le public pour signifier son mépris de l’entraîneur et des supporters; un transfert après seulement six mois passés en L1 pour fuir vers les ors turcs puis un retour mouvementé en France... À eux deux réunis, Éric Cantona et Franck Ribéry écrasent la concurrence en termes de bad boy attitude. Manifestement, les deux hommes possèdent un art bien à eux d’alimenter la chronique médiatique, à dix ans d’intervalle. De quoi assurer aux deux milieux de terrain un statut de parfaits boucs émissaires pour les supporters français? Raté: chacun à leur manière, les deux hommes ont au contraire réussi à devenir des icônes.


Canto, l'antihéros

Il en faut pourtant bien moins que cela à tout une flopée de footballeurs pour récolter sifflets, injures et autres joyeusetés sur les pelouses de l'hexagone. Christophe Dugarry fut pendant longtemps l'objet de la vindicte populaire pour avoir été trop proche de Zinédine Zidane. Christian Karembeu a même réussi la remarquable performance de susciter le courroux des supporters de l'équipe de France sans le moindre motif valable. Avec leur CV, Canto comme Ribéry ont pour leur part échappé à l'opprobre public. Question d'époque. Car les deux hommes ont tous deux bénéficié d'un contexte favorable à leur transformation en gendre presque idéal.

Le véritable avènement populaire du Marseillais date en effet de son exil anglais en 1992, après plusieurs passages chaotiques à l'OM, Bordeaux, Montpellier, et enfin Nîmes. Le milieu du ballon n'a alors pas grand-chose à voir avec celui que les amateurs de ballon rond connaissent aujourd'hui. D'une part, dans cette première moitié des années 90, le public français peine à se trouver des stars nationales au sein d'une équipe de France en crise, marquée par les échecs successifs de l'Euro 92 en Suède et les éliminatoires de la World Cup. Ensuite, dans la France pré-Bosman, les Français évoluant (et réussissant) à l'étranger se comptent sur les doigts d'une main. C'est dans ce climat très particulier que le n°7 mancunien trouve un terreau favorable pour devenir le chouchou d'une partie du public français, qui tient son antihéros et aime à s'encanailler en vouant un culte à ce frenchy parti exporter l'arrogance nationale Outre-Manche.

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Ribéry, Français d'aujourd'hui

Dix ans plus tard, l'apparition de Franck Ribéry sur la scène médiatique n'est pas vraiment comparable de comparable. Il aura suffi de quelques enflammades au Vélodrome pour soulever Phocée, et d'une série de crochets et de coups de rein sous le maillot bleu pour convaincre la Nation. Contrairement à Canto, Ribéry n'est pas une star. Il ne relève pas le col de son maillot et le menton pour célébrer un but, ne méprise pas les journalistes venus l'interviewer après une rencontre, ne cherche manifestement pas à cultiver son image. Au contraire.
Malgré sa gueule de travers, sa réputation d'ingérable, et son arrivée rocambolesque à l'OM, le Nordiste a finalement quelque chose de profondément rassurant pour le peuple des tribunes. C'est en effet l'un des derniers représentants du football d'avant, des dribbleurs et des vanneurs, de ceux pour qui le foot est, plus qu'un sport, un jeu, des tripoteurs qui font rêver même quand ils perdent. De ceux qui ont encore dans le regard un bout des yeux gourmands du public dont ils sont issus. Prolo, habitué à fréquenter des Maghrébins, né dans un quartier populaire au début des années 80, décidé à ne faire que ce que ses choix lui dictent, ambitieux: c'est un Français d'aujourd'hui. Plus encore: un Français de demain. Pas étonnant, donc que les jeunes se retrouvent dans ce "Gaulois de quartier" qui leur ressemble.

Finalement, en retournant une situation initialement mal engagée, les deux hommes ont démontré la fragilité du statut d'homme public... et lancé involontairement un magnifique message d'espoir pour les plus jeunes nominés au Ballon de Plomb.

Les Cahiers du Football || mensuel de foot et d'eau fraîche

27 novembre 2006

Ribéry : «Pas assez de repos»

Franck Ribéry, le milieu de terrain international français de Marseille, revient dans les colonnes de L'Equipe sur sa blessure qui devrait le tenir éloigné des terrains entre deux et six semaines. Le joueur dit avoir ressenti une douleur aux adducteurs au lendemain du match face à Lyon (1-4). Il a ensuite débuté le match à Saint-Etienne sur le banc en raison d'une douleur au pubis. Des blessures qui l'avaient déjà empêché de jouer pendant quatre mois lorsqu'il était à Alès, parce qu'il avait forcé.

Il avoue avoir cette fois discuté avec les médecins des Bleus et de l'OM avant de décider «de ne pas prendre de risque, parce que je sentais que ça n'allait pas». Ribéry pense que sa blessure est le fruit d'un manque de repos. «C'est sûr que depuis l'année dernière, j'ai enchaîné tous les matches. Je n'ai pas eu assez de repos». Même si cela l'embête de «laisser mes coéquipiers dans une période difficile», il espère toujours «finir dans les trois premiers, et obtenir une qualification en Ligue des champions». Concernant son avenir, il a déclaré se sentir 100% marseillais, «ce n'est pas pour partir au mercato. On verra en fin de saison».

L'EQUIPE.FR Football - Ribéry : «Pas assez de repos»

21 novembre 2006

Ribéry pubalgie

Franck Ribéry rejouera-t-il d’ici 2007 ? Victime d’un début de pubalgie, qui pourrait expliquer ses dernières prestations moyennes, le Marseillais manquera France-Grèce et pourrait être éloigné des terrains un mois ou plus.

Par Florian Egly

A force de trop tirer sur la corde, celle-ci finit toujours par céder... Cette réflexion, les dirigeants marseillais doivent forcément l'avoir en tête ce mardi soir, après que Raymond Domenech a annoncé, depuis Senlis, que Franck Ribéry souffrait d'un début de pubalgie. Forfait pour le match amical France-Grèce, l'ancien Messin devrait en avoir pour un bon mois de repos et pourrait ne pas réapparaître sur un terrain de football d'ici la fin de l'année, selon le sélectionneur des Bleus.

Sur la jante
Voilà en tout cas un début d'explication concernant les récents déboires de l'OM, battu lors de ses quatre derniers matches de championnat et piteusement éliminé de la Coupe UEFA par les modestes Tchèques du Mlada Boleslav. Fatiguée, éreintée, la révélation française de la Coupe du Monde est apparue au bout du rouleau lors de ses dernières prestations, donnant même l'impression de baisser les bras face à Lorient (0-1) au Vélodrome. La «Ribéry-dépendance» n'a jamais aussi bien porté son nom. Il fallait bien toutefois que le joueur craque un jour au l'autre. S'il semble posséder par moments les piles qui durent plus longtemps que les autres, il vient de dépasser la date de péremption. Entre un Mondial où il ne s'attendait peut-être pas à disputer autant de minutes et une reprise anticipée avec l'OM, le marathonien des terrains n'a guère eu le temps de recharger les batteries. Il faut se rappeler cette intersaison controversée, entre désir de quitter la Canebière et apparition précipitée en Coupe d'Europe face aux Young Boys de Berne, sous la pression de l'ogre lyonnais qui voulait l'enrôler.

Au repos forcé
Depuis, Ribéry n'a quasiment jamais eu l'opportunité de dire stop, trop influent sur le bon début de saison de l'Olympique de Marseille. Comme la saison dernière, le coup de mou du numéro 10 phocéen correspond à l'enlisement de son équipe. Il intervient cette fois-ci seulement un peu plus tôt que prévu. Comment l'OM va-t-il gérer l'absence de son enfant prodigue ? Il lui faudra certainement repenser tout son schéma de jeu, dans une période où les attaquants marseillais se transvasent le doute d'épaule en épaule. D'autant plus que le retour programmé de Djibril Cissé connaît qulques complications. Après nouvel examen auprès des médecins, il semblerait que l'avant-centre international ne soit pas opérationnel avant la mi-décembre. D'ici là, Valenciennes, Troyes, Sochaux et Monaco se seront trouvés sur la route des Olympiens. Pour s'enfoncer encore un peu plus dans la vase ou relever la tête ? Réponse dans un mois, en priant pour que leur joyau revienne plus fort.

Marseille : L'agent de Ribéry tacle

La FIFA a débouté Galatasaray dans le dossier qui opposait le club Turc à l'OM pour le transfert de Franck Ribéry. L'agent du joueur affirme aujourd'hui que les dirigeants marseillais ne se sont jamais impliqués dans ce dossier. Bruno Heiderscheid revient également sur la blessure de l'international de l'OM.

Bruno Heiderscheid, la décision de justice est une libération pour Ribéry, une victoire juridique qui vous rassure ?
C'est une victoire de trois personnes sur le plan stratégique et légal. Celle de Me Patricia Moyersoen, de Franck Ribéry et de moi-même. Même si on était très sereins sur ce dossier, c'est quand même une satisfaction et un soulagement. Je voudrais aussi dire que c'est une victoire pour Jean Fernandez. S'il n'avait pas été à l'OM, Franck Ribéry ne serait pas venu.


Vous n'associez pas l'OM ?
L'Olympique de Marseille n'est absolument pas impliqué dans ce dossier. La preuve c'est qu'ils n'ont jamais pris d'avocat, ils ont toujours refusé de rembourser les frais occasionés par ce dossier qui ont été pris en charge par Franck Ribéry et moi-même. (ndlr : l'OM dit avoir versé 600.000 € à Heiderscheid pour la venue de Ribéry à l'OM et les négociations liées à ces contrats) Mais pour moi la page est tournée. C'est une suite logique des choses et je ne veux pas chercher à expliquer l'attitude de l'OM. Le football est un monde sans pitié. Les gens se révèlent, j'en prends acte. La page est tournée. La seule chose qui m'importe c'est Franck Ribéry. Je constate aujourd'hui que Franck et moi, on ne se trompe pas beaucoup dans nos décisions et dans le choix de carrière qu'on a fait ensemble.


Comment va Franck Ribéry ?
Il est fatigué. Il a besoin de repos. La saison dernière il a disputé près de 70 matchs avec l'OM et l'équipe de France. Je crois qu'on l'a sur-utilisé. Il n'a pas eu suffisamment de repos et n'a pas eu de préparation. Quand on prend l'exemple lyonnais, les internationaux ont pris le temps adéquat  pour leur préparation, chose que Franck n'a pas pu. Après, c'est un choix sportif, un choix politique, je l'ignore ; en tout cas c'est un mauvais choix. Je crois que ce qui arrive aujourd'hui est un mal pour un bien. Franck va mettre à profil au maximum cette période de repos forcé pour revenir plus fort l'année prochaine.


Ribéry s'était-il plaint après le match contre Lyon ?
C'est difficile d'aborder un dossier médical. Je n'étais pas sur place mais il m'est difficile de douter des paroles de Franck lorsqu'il dit qu'il s'était plaint, mais que personne n'a fait attention.


On se demande si vous ne regrettez pas d'avoir choisi l'OM pour Franck Ribéry ?
En aucune façon. Je reste convaincu que l'OM est un club fait pour Franck Ribéry mais ce qui était plus imprévisible c'est le choix de certaines personnes. 
Marseille : L'agent de Ribéry tacle

Marseille : L’agent de Ribéry tacle - Fil Info - Le sport avec patrick Chêne

13 novembre 2006

Ribéry n'inquiète pas Diouf

Le président de l'OM, Pape Diouf est revenu sur le site officiel de son club sur les difficultés actuelles de Franck Ribéry : pour lui, c'est un coup de pompe passager.« Franck requiert compréhension et indulgence, indique sur le site officiel de l'OM Pape Diouf. Voilà un garçon qui, dans la foulée du dernier championnat, a abordé la Coupe du Monde, une compétition très exigeante. Si la majorité de ses coéquipiers chez les Bleus s'attendaient à être en Allemagne, ce n'était pas son cas. Il lui a fallu peut-être s'investir encore plus. Il a traversé le mondial de manière brillante. »Le président de l'OM en profite pour placer un tacle à l'entourage de Ribéry : « Il a connu aussi un été agité, du fait d'un entourage qui n'a peut-être pas toujours été pour lui d'un conseil judicieux. » Mais Diouf est optimiste : « Nous connaissons le garçon et son style de jeu. Il donne tout de la première la dernière minute. Il est légitime qu'il ait aujourd'hui besoin de souffler. Le seul problème est que ce besoin coïncide avec les moments difficiles que nous traversons. Je suis persuadé que quand il aura retrouvé un peu de fraîcheur physique, car je pense que c'est ce potentiel-là qui a été entamé, on retrouvera le vrai Ribéry. Je ne me fais aucun souci. »

Marseille : Ribéry n’inquiète pas Diouf - Fil Info - Le sport avec patrick Chêne

08 novembre 2006

Olympique de Marseille (OM) : Wenger veut Franck Ribéry

Arsenal ne va pas lâché le morceau. Loin de là. Les journaux britanniques avaient révélé ces derniers jours que les dirigeants des Gunners avaient déjà trouvé un accord avec leurs homologues olympiens pour que Franck Ribéry traverse la Manche l'été prochain moyennant une somme de 26 millions d'euros. Sitôt l'information répandue, José Anigo, le directeur sportif de l'OM, a démenti. "Il n'y a aucun accord" , peste-t-il. Mais voilà le feuilleton Ribéry reparti de plus belle.

Olympique de Marseille (OM) : Wenger veut Franck Ribéry
Les dirigeants marseillais pensaient être tranquilles au moins jusqu'au mercato hivernal. Ce ne sera pas le cas. Si Franck Ribéry a réaffirmé après de multiples soubresauts au mois d'août dernier qu'il resterait à Marseille pour au moins une saison supplémentaire – son contrat court jusqu'en 2010 - cela n'a pas eu pour effet de décourager la concurrence.

A peine deux mois après avoir déclaré vouloir finalement continuer de porter le maillot ciel et blanc (après s'être vu signifier un fin de non recevoir concernant son désir de rejoindre l'Olympique Lyonnais), le milieu de terrain international se retrouve de nouveau au centre d'une rumeur de transfert véhiculée depuis quelques jours par la presse britannique. Arsenal, également sur les rangs l'été dernier pour recruter la révélation du dernier championnat de France, a repris contact avec les dirigeants marseillais. Il se murmure même que les deux clubs auraient trouvé un accord pour que Ribéry rejoigne Thierry Henry la saison prochaine pour un montant de 26 millions d'euros.

Une information vite démentie par José Anigo, le directeur sportif de l'OM. "Il faut être très clair là-dessus. Il n'y a aucun accord avec Arsenal, ni avec aucun autre club européen", a-t-il martelé sur le site officiel du club. Pour autant devant l'évidence, ce dernier confirme finalement les contacts au sujet de son joueur. "Effectivement, Arsenal est venu discuter avec Pape (Diouf) et Arsène Wenger lui en a parlé. Mais, il y a eu aussi des discussions avec d'autres grands clubs européens. On pourrait les citer tous mais je n'aurais pas assez des doigts de mes deux mains pour en faire le compte", renchérit-il dans un tentative de pirouette dont il a le secret.

Le fantasme d'Anigo

Quoi qu'il en soit, toujours très intéressé à l'idée d'associer Thierry Henry et Franck Ribéry à la pointe de son attaque, Arsène Wenger serait donc vite revenu à l'assaut de la perle marseillaise. Conscient que l'entente entre les deux compères de l'équipe de France a fait ses preuves lors de la Coupe du monde, le technicien français sait aussi que l'OM n'aura pas les moyens de retenir longtemps son petit génie du milieu de terrain. Sachant aussi que les dirigeants marseillais auront moins de réticence à le laisser filer à l'étranger qu'à Lyon par exemple, Wenger a choisi de se replacer très tôt sur le dossier.

Si comme le soutient Anigo, rien n'a été signé entre les deux clubs, les Gunners ont peut-être pris une longueur d'avance sur la concurrence, au moins concernant le joueur très sensible à l'intérêt que peuvent lui porter les grands clubs européens. Mais à Marseille, on ne veut toujours pas imaginer le départ du vice-champion du monde, et ce même à l'issue de l'exercice en cours. "Je ne vois pas pourquoi nous discuterions d'un départ de Franck alors que l'on a des objectifs élevés et que l'on caresse l'espoir de conserver nos meilleurs éléments", reprend Anigo. L'ancien entraîneur de l'OM rêve même de l'associer à Didier Drogba et Djibril Cissé la saison prochaine en Ligue des Champions. "Ce serait extraordinaire, pourquoi pas ?, confie-t-il. Aucune porte n'est fermée dans un sens comme dans l'autre".

En attendant de fantasmer sur un éventuel retour de Drogba dans la cité phocéenne, et sur une qualification pour la prochaine Champion's League, les dirigeants marseillais vont une nouvelle fois devoir calmer les ardeurs des prétendants à la nouvelle coqueluche du football tricolore car il se murmure dans les coulisses que le mercato hivernal pour être aussi chaud que celui de cet été ...

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Ribéry et Zidane taclés chez Ardisson !

Thierry Ardisson l'ex-animateur de l'émission "Tout le monde en parle" sur France 2, retrouve l'antenne ce soir sur Canal Plus avec son émission "Salut les Terriens". Si Laurent Baffie ne sera plus aux côtés de "l'homme en noir", il est remplacé par Stéphane Guillon, connu pour ses propos acides. Ce dernier qui tiendra chronique dans l'émission et qui selon lui "permet de se fâcher avec des gens qui ne sont pas sur le plateau" a commencé fort pour la première. A propos de Franck Ribéry le milieu de terrain olympien, il a eu ce commentaire : "Si Zidane maîtrise à merveille le coup de boule, c'est parce qu'il s'est fait la main sur le visage de Franck Ribéry". Le public présent sur le plateau à sifflé.

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Bleus : Zidane fan de Ribéry

Dans un entretien publié le 6 novembre sur son site Internet (www.zidane.fr), Zinédine Zidane encense Franck Ribéry : « on a vraiment l'impression qu'il est là depuis longtemps. »


Qui sera le meilleur joueur français des prochaines années ? A cette question, Zinédine Zidane répond sur son site Internet : « Ribéry. Oui. Ribéry pour des tas de raison. Et surtout parce que c'est quelqu'un qui ne se pose pas de question. Il joue libéré, c'est important. » Pour Zinédine Zidane, son intégration lors du Mondial 2006 s'est faite facilement : «  On l'a accueilli comme on accueille tout le monde, comme j'ai été accueilli comme je suis arrivé. Mais tout ce qu'il s'est passé pour lui, c'est qu'il est rentré comme s'il était là depuis quinze ans. Et c'est ça qui est fort. Il est entré dans un groupe qui l'a accepté tout de suite, mais en même temps, il s'est dit « j'ai été bien accueilli, maintenant je joue comme si ça faisait quinze ans que je suis là. »  Et c'est ça quand on le voit jouer : on a vraiment l'impression qu'il est là depuis longtemps alors qu'il y a deux ou trois ans de ça, il était en CFA… »


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